Nous arrivons au terme de nos vacances. Avant de repartir, visitons rapidement l’église de Lagarde. Nous ne savons rien sur elle, nous ne connaissons pas son nom, nous n’avons rien trouvé la concernant sur les sites des offices du tourisme voisins.

Pourtant elle est belle, avec son clocher-mur orné de créneaux.

 Nous avons aimé l’intérieur, avec ses beaux vitraux, son plafond peint, toutes ses décorations en harmonie. Elle est magnifique ! 

Avant de reprendre la route, nous terminons l’article par une photo de la douce Sunny  en compagnie de Cadix.

Nous terminons notre promenade dans Foix par la visite de  son magnifique château.

Avant d’arriver, sur la route qui nous mène dans la cité, on voit cette forteresse exceptionnelle, tout en haut d’un imposant piton rocheux.

Au nord, la 1^ère tour carrée, couverte d’un toit d’ardoises à la fin du 19^ème siècle est certainement la tour la plus ancienne. Elle daterait du 11^ème et 12^ème siècle.

La tour du milieu construite au cours du 13^ème siècle a été réaménagée au 14^ème siècle. Elle est ornée de belles sculptures.

La tour ronde, plus tardive présente une architecture gothique avec de vastes baies éclairant de belles salles voutées.

Voici Pierre et Cadix sur le chemin très pentu menant au château.

Nous avons tout en haut fait le tour du bâtiment . La vue sur la ville est remarquable. Nous avons également apprécié le beau point de vue que nous avions sur les Pyrénées.

Pierre, quant à lui, est monté au sommet de deux tours, Avec Cadix, nous l’avons attendu de la cour. Voyez-vous ces deux points en bas !

On nous reconnaît mieux d’un peu plus bas.

Nous terminerons notre reportage avec le bon roi Henri. Avant de  devenir roi de France en 1589,  Henri fut d’abord comte de Foix, et roi de Navarre. Bien qu’il ne vécut jamais en comté de Foix, il y séjourna à maintes reprises.

Nous voulons rendre ce soir un hommage aux Maquisards qui vivaient isolés dans les endroits peu accessibles de nos Pyrénées Ariègeoises, principalement,à ceux qui ont laissé leur vie à Roquefixade.

82 jeunes gens se sont installés tout près du village, où ils ne devaient rester qu’un moment, le temps de trouver un point de chute. Durant cette période, ils continuent leurs actions : occupation de Lavelanet – enlèvements de miliciens, attaques de convois allemands.

Ce maquis local, peu armé est attaqué le 6 juillet 1944 par des gardes mobiles et des miliciens. 11 jeunes sont tués dès l’attaque donnée. Le lendemain, des troupes allemandes encerclent Roquefixade et tombent sur un groupe de résistants : 5 sont tués.

Avant de quitter le village, nous faisons une dernière photo avec notre Belle.

Nous terminerons cet article par une citation  d’Henriqueta Lisboa, célèbre poétesse brésilienne :

Pour parler de la guerre, il n’y a que des larmes.

Notre visite de Toulouse se termine par une vue rapide de la basilique St Sernin. Déjà 3 heures que nous avons quitté Cadix, nous n’avons pas envie de nous attarder.

On voit de loin, son imposant clocher. 

En arrivant devant le monument, nous sommes surpris par son ampleur et par la richesse de ses sculptures.

Nous pénétrons à l’intérieur de l’église. Nous savons qu’elle abrite le tombeau de St Saturnin, premier évêque de l’église de Toulouse et premier martyr.  Il y a également d’autres « corps saints » qui firent sa célébrité sur le chemin de St Jacques de Compostelle.

Nous avons pris quelques clichés de l’intérieur, mais nous ne sommes pas allés visiter les cryptes, ni la tour des Corps Saints.

Il nous manquait une heure ou deux, pour visiter ce lieu ; cette fois, ce sera juste un aperçu. Là s’achève notre visite 2011 de Toulouse, nous repartons à la voiture et nous sortons vite de la ville. Au bout de quelques kilomètres, nous retrouvons la campagne, il est temps de sortir notre Belle, bien détendue après une bonne sieste.

Habituellement, durant nos vacances, nous allons rarement dans les villes. Nous privilégions les randonnées en campagne, montagne, ou le cas échéant, les promenades le long des côtes du littoral.

Cependant, nous devions ce  mercredi de vacances, passer quelques heures au centre de Toulouse. Le temps était beau et chaud. Nous avons laissé Cadix au frais dans la voiture garée au parking souterrain et nous sommes partis place du Capitole.

Nous nous y trouvions aux alentours de midi. La place était déjà très animée. Elle est face au Capitole. Elle mesure 12 000 m2 et ne contient aucune construction. Au sol, est représentée la croix occitane  dessinée par Raymond Moratti.

Comme vous pouvez l’apercevoir, les commerces ont tous une façade rouge brique. Ils ne dénaturent pas la ville rose. Toulouse a été nommée ainsi, car la vallée de la Garonne et son sol argileux n’ont jamais permis d’exploiter la pierre. Ce reflet rose donné par la brique se change en pourpre ou en rouge au gré de la lumière du jour.

Le long des arcades qui entourent cette place, on trouve des fresques (toujours de R Moratti). Ces 29 tableaux colorés racontent les grandes heures de Toulouse.

Lorsque nous avons repris la voiture près de  3 heures plus tard, nous nous sommes vite arrêtés pour que la miss se dépense. Non, elle a préféré rester couchée pas loin de nous.

A Bientôt.